Premières nations

Les billets de cette section font écho aux articles de Caroline Montpetit, du journal Le Devoir, publiés à partir de l'été 2017. Mon propos vise à mieux connaître ceux qui, pour la majorité, habitent des régions au climat rude et aux conditions de vie pénibles. Je pense aussi qu'ils méritent une meilleure considération de notre part et je pense que nous pouvons partager avec eux la mission de protéger la planète pour l'avenir de nos enfants et petits-enfants. Vous êtes bienvenus d'écrire vous-mêmes vos réflexions, soit par un commentaire, soit par un nouveau billet. 
Michel Bourgault, webmestre.

  • Justice pour nos frères et sœurs autochtones

    G mere mere autochtone

    Sur un fond de conquête du Nouveau Monde, le gouvernement du Canada a été le maître d'œuvre, pendant au moins un siècle et demi, d’une vaste entreprise d'assimilation des peuples autochtones. Des hommes politiques canadiens sont à l'origine de l'enlèvement des enfants de leurs parents Autochtones et de leur confinement dans des pensionnats gérés par des religieux...

  • Apprendre de l'autre

    Apprendre de l autreSous le titre « Bâtir une relation égalitaire avec les Autochtones», Le Devoir donne un exemple inspirant pour lutter contre le racisme. Il ne suffit pas de dire « Je ne suis pas raciste ».

  • Odanak, en territoire abénaki

    Je poursuis cet été ma quête de notre prochain chez le peuple des Abénakis. Situé à environ 90 minutes d'auto de Joliette, au sud du fleuve, Odanak offre du 15 juin au 15 septembre aux visiteurs trois expositions et, le 6 août, une journée de recherche archéologie.

  • On les appelait Hurons; ils se désignaient Wendats

    Arakwa Siouï, de la nation wendateDe nos cours d'histoire à l'école, j'ai retenu que les Hurons étaient alliés de nos ancêtres français et que cette alliance a valu aux premiers colons la guerre avec les Iroquois. Le Père jésuite Jean de Brébeuf a également contribué à faire connaître la langue huronne-wendate, ainsi que leurs coutumes.

    Arakwa Siouï
    Photo: Francis Vachon Le Devoir.

  • Que savons-nous des Attikameks?

    Les langues autochtones aujourd’hui

     

     

     

     

     

     


     

     

    J'aimerais dire que je connais bien nos quasi-voisins, mais force m'est d'avouer qu'il n'en est rien. C'est pourquoi j'ai lu avec intérêt le dernier article de C. Montpetit dans le Devoir du 5 septembre. Puisque j'ai gardé l'odeur de la «rentrée» pour nos jeunes, pourquoi ne pas faire ma rentrée avec la principale nation autochtone de Lanaudière? Photo: Le Devoir

  • Nos femmes et nos filles sont sacrées

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    C'est le titre du rapport provisoire de l'Enquête nationale sur les filles et les femmes autochtones disparues et assassinées (ENFFADA) présenté récemment. Je félicite les commissaires qui ont accouché de ce rapport, en dépit de l'ampleur de la tâche et des embûches rencontrées. Il est intéressant, je dirais vital, pour notre avenir commun de s'informer de la démarche des autochtones.  Photo: la Presse canadienne/Darryl Dyck

  • Étudier en français, un défi pour les Inuits

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    Je me soucie de l'avenir de la langue française. J'essaie de le parler et de l'écrire correctement. Mais une langue, c'est fait pour communiquer. C'est fait pour bâtir une société qui offre des possibilités d'avenir égales pour toutes et tous, Imaginez, je tombe ce matin sur un article du Devoir...  Photo: Miriane Demers-Lemay/Le Devoir

  • Inuk en colère

    InukencolereInuk en colère est le titre d'un documentaire vu sur la chaîne ICI Explora, produit par l'O.N.F., et réalisé par Alethea Arnaquq-Baril, en 2016. En résumé, la réalisatrice raconte quelles conséquences sur la vie des Inuits ont provoqué les campagnes de boycottage des produits fabriqués en peau de phoque. 

  • Étrangers sur leur propre terre

    Fotolia 103535979 xsattraprvesDes Québécois, pour la recherche, le travail ou l'aventure, ont fait connaissance avec les peuples dans le nord québécois. Les Naskapis sont l'un d'eux. Caroline Montpetit, du Devoir, écrit cette semaine sur une communauté nomade à cause de son mode de vie, la chasse. Elle a aussi été forcée par le gouvernement à s'installer à divers endroits comme Fort Chimo, Fort Nascopie et Fort Mackenzie. L'article rapporte le témoignage de deux jeunes rappeurs, mais les grands-parents ne sont pas loin quand on parle de conservation de la langue et des coutumes.

  • La pureté de la langue

    Cette semaine, dans sa chronique sur les langues autochtones, Caroline Montpetit du Devoir, écrit sur la langue inuktitut sous le titre Le défi de l’inuktitut: conserver la pureté de la langue. Comme enseignant retraité je me sens doublement interpelé par le défi des Inuits.
    Lisa Koperqualuk. Photo: Le Devoir, Caroline Montpetit.